IJAM Volume 11 Number 1 (PAPIER)

V1110-P
ISSN/ISBN : 1480-8986
Pages : 99

Produit: Revue

84,00 $ CA

MOT DE L’ÉDITEUR

Nous entamons avec le présent numéro la deuxième décennie de la revue et lançons une nouvelle rubrique intitulée Note de recherche. Au fil des numéros et des manuscrits reçus, il est apparu que certains textes ne pouvaient constituer un article selon les critères de la revue, mais que la méthodologie employée ou la discussion conceptuelle des auteurs méritaient une large diffusion au bénéfice des chercheurs du domaine. La note de recherche de François et Fabienne Courvoiser en est un exemple. Nous invitons tous nos collègues à tirer avantage de cette fenêtre de diffusion lorsque l’occasion se présentera. Évidemment, la note de recherche sera arbitrée afin de maintenir nos normes de qualité; elle devra être concise et se limiter à un maximum de  2 000 à 2 500 mots.

Le marketing prédomine encore dans le numéro que vous avez en main. Le premier article présente une discussion sur les moyens que pourrait employer une petite entreprise de musique pour percer le marché international, dans le cas à l’étude, une firme australienne qui tente de s’introduire dans les marchés anglais et américain (Guy Morrow).

Pour sa part, Simon Roodhouse se penche sur l’historique du concept d’industries créatives et sur les raisonnements ayant mené à son émergence. L’article suivant traite d’une recherche sur la valeur des institutions muséales telle que perçue par deux échantillons, le public qui fréquente les musées et les managers du secteur; Carol Scott se fonde sur les résultats pour discuter des implications managériales. Suivent deux articles portant sur des études distinctes. Dans le premier, Rémi Mencarelli propose une échelle de mesure liée au concept de valeur perçue pour un lieu culturel. Dans le second, Isabelle Collin-Lachaud et Juliette Passebois discutent des technologies immersives et de la valorisation de l’expérience pour le visiteur. 

Enfin, le « Company Profile », rédigé par Stéphane Vigneault et Laurent Lapierre, porte sur la direction artistique de Richard Monette au Festival de Stratford (Canada). Ce cas illustre également une collaboration fructueuse entre la direction artistique et la direction administrative d’une organisation artistique.

Bonne lecture !

François Colbert
Éditeur